ERCVOX

EXEMPLIFICATION DE LA METHODE de découverte de loi de composition de groupes établies par CAH/jVARS de la matrice morphologique standard du verbe V4

j1 K-1613 JA71 code_3 G matériau sonore
j2 k_1614 JA71 code_3 G matériau sonore pour aide à l’interprétation et vérification
j3 PT k_1616 code_2 matériau sonore
j4 IFU JA71 k_1616 code PT IFU matériau sonore
j5 Types monosyllabiques JA71 k_1617 CODE 2 base lexicale taille 7
j6 types accentuels IP JA71 k_1618 code_4 [O 1 2 3 ]
j7 types accentuels SP JA71 k_1619 code_4
j40 SP_3b code_2 JA71 k_1772
j42 SP_3b bJA71 k_1969 code_3 nil NK consonnantisme suffixal
j43 SP_3a inchoatif code 4


(Discussion sur code 5 NKJ possible par combinatoire, et découverte de connexité de système semi-complexe (Massourre Barèges). Plus que le code, ce qui importe est l’algorithme qui construit la cohésion des groupes dans un système morphologique semi-complexe.
J44 PT infixé code_3 JA71 k_1983 etc…
Sur cette base, par représentation cartographique distributionnelle (Casanova_Fossat MSH Toulouse, site gascon MSH accessible sur site OCCITON, car le site UTM2 UMR a été désactiva) nous avons vérifié la validité de la représentation restreinte de système morphologique JS sur la base JA, dans un dispositif à présent mis en discussion. Fallait-il procéder ainsi ou non ? Quelle alternative actuellement possible à ces modes de représentation ? Démonstration de leurs limites de validité ? Quelle nécessité de développement, sous quelles conditions ?
Dans tous ces cas, on se limitera aux constats établis à partir de CAHjVARS (méthode de Ward, vérifiant la validité des représentations fondées sur CAHjVARS).

DISCUSSION :propositions de JL FOSSAT / propositions de Hans Goebl
Ce que l’on voudrait savoir
1° quels romanistes experts de tel ou tel domaine peuvent apporter à ce dossier des arguments à partir de réels bruts (données sonores numérisées exigibles, et loi de composition d’un groupe ou sous-groupe spécifié (exemple PTG/Açores : asturien ; italo-occitan de Varaita, Maira, Stura, Chianale, Salbertrand; asturien; variété de roumain, variétés de ladin, d'aranais, de sarda etc. )
Il ne fait aucun doute que cet échange de données accessibles peut prendre des années ; ça dure depuis 1927 (Chavanat, L. Queyrat, polymorphisme roman)
2° Si oui, l’appel aux concept d’homomorphisme calculé et constaté paraît-il fondé, et à quelles conditions ?
La réponse est non, si nous n’apportons pas la preuve que toute variable est organisée par une arborescence de graphe, base de toute représentation géométrique dans un espace doté de loi de composition.
Dans le cas contraire la réponse serait OUI, sous réserve de généralisation vérifiable en recherche transversale, ce qui n’est actuellement pas le cas, en ce qui nous concerne, tout au moins.

référence majeure: Jean SEGUY, ALG6 cartographie des classes dialectales calculées en dialectométrie manuelle de A à Z.
Toute classification ultérieure, doit se référer à cette source, en termes de validation.
http://occiton.free.fr/forum/k12ALG6gradient.jpg

VALIDATION DES CONCLUSIONS DE JEAN SEGUY 1970 ALG6 CARTOGRAPHIE DES CLASSSES
Nous avons, à la suite de Jean Séguy, et à sa demande expresse ,validé en deux temps les résultats dialectométriques manuels de première génération (J. Séguy ALG6, 1970)
1er temps Dennis PHILPS ADIPYC: Atlas Dialectométrique des Pyrénées Centrales: cf. bibliographie.
Validation et affinement portant sur les données des Pyrénées Centrales, avec flexibilité , à partir des arborescences de la classification hiérarchique.
2ième temps: (1) groupe de travail Société Image Toulouse -Marc Peytavi, Choeb Zafar et collaborateurs (2) groupe de travail de linguistique et dialectologie, sous la direction de JL Fossat.
Résultats: les résultats son exposés dans l'ouvrage en ligne en tête de site occiton.free.fr: volume 3
On confrontera les résultats de nos analyses:
1° classification dialectométrique dialectale du gascon, à partir des matrices d'ALG6 (phonétique, phonologie, morphologie verbale, morphosyntaxe: volume 3 en ligne sur occiton.free.fr
2° classification dialectométriques des données lexicales polynomiques D R F DF : volume 3, en ligne, sur ocitonfree.fr

COMPOSITION DES GROUPES ET INTERFERENCES: GROUPES INTERFERENTIELS: message résultant d'une discussion entreJL Fossat et Jean-Jacques BOUE, (47 Montagnac)
La seule confrontation avec la cartographie distributionnelle, et, a fortiori, avec la cartographie des groupes calculés sur les paramètres grammaticaux et lexicaux, fait apparaître en bordure du Languedoc occidental et du gascon, des groupes interférentiels.
Le cas du quadrilatère de Massat est le cas le plus célèbre, depuis Pierre BEC.
(1) Le quadrilatère agenais, en bordure du Languedoc occidental (Quercy blanc et noir) et des variétés gasconnes ; tout comme tous les quadrilatères transgaronnais: (2) Quadrlatère de Marmande, (3) Quadrilatère de La Réole: (3) au sud, la grande Lande (4)au nord les groupes du Lot (Agen entre gascon et languedocien occidental
Une description dialectométrique globale fait apparaître et démontre le poids des groupes transgaronnais les groupes de parlers dialectaux interférentiels du Marmandais, avec le groupe de La Réole.
Cet état de choses, qui borde Casteljaloux, Marmande, Agen, voire Auvillar devrait apparaître clairement, avec un traitement dialectométrique comparatif des données de l'ALG6 et des données de l'ALLOC, soumises à un traitement comparatif.
La chose est rendue possible à partir du regroupement des données ALG/ALLOC dans le THESAURUS OCCITAN (TESOC)
De façon curieuse et spectaculaire, cet état de choses apparaît singulièrement dans un ouvrage lexicographique comparatif du lexique ggascon de MONTAGNAC (47) aux portes du Néracais, et du lexique plus languedocien du village géographiquement plus éloigné de l'axe garonnais, les deux géographiquement positionnés sur un axe néracais , et en même temps plus marqué par le languedocien (+ abbaye!: LA ROMIEU) .