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MessagePublié: 05 Oct 2007, 16:27 
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PHONOLOGIE: OCCITAN, BERBERE, ROMAN

Envoyé par: FOSSAT Jean-Louis PR. émérite (193.55.175.20)
Date: Vendredi, 15 Octobre 1999, ˆ 6:49

Ce message est né de la lecture de Boltanski et résulte de l'exigence de création de relations de travail entre unités d'un même laboratoire; les questions portent sur les relations entre implémentation de règles phonétique, opérations phonologiques et morphologiques. On attend des réponses ajutant des théoriciens que des linguistes de terrain, dont les romanistes dialectologues: critiques, rectifications, contrepropositions etc. TEXTE SUIT ***OCCITAN: OPERATIONS PHONOLOGIQUES [P] ET OPERATIONS MORPHOLOGIQUES [M] JL FOSSAT Questions posées au séminaire de phonologie dialectale 15/11/99

INTRODUCTION: PHONETIQUE, PHONOLOGIE, MORPHOLOGIE: points de vue de(s) dialectologues de terrain A l'occasion des Journées de phonologie du laboratoire erss (22 novembre 1999), les dialectologues [D] ont été conviés à former avec phonologues [P], morphologues ou morphologistes [M] un groupe de travail; les dialectologues ont tout à gagner en crédibilité à exposer leurs données de terrains, leurs points de vue à la rigueur des théories phonologiques et morphologiques; ce qui leur permettrait de développer avec plus de clarté, en tout état de connaissance, tel ou tel modèle d'analyse, au fait de l'état des recherches actuelles dans le domaine. Il semnble qu'actuellement l'apport de l'occitan aux Etudes de syntaxe soit plutôt mince, du fait des objectifs mêmes de la dialectologie de caractère géolinguistique, non formel; la syntaxe se prêtant mieux aux recherches formalisées. En revanche l'apport des données dialectales à l'analyse de la Forme Phonique (RPh) de l'expression linguistique, semble un point focal des recherches qui tentent d'allier modèles, théories et terrains. Il est par conséquent essentiel pour la dialectologie qu'elle puisse argumenter et developper sa pensée de la variabilité (hétérogénéité) sur des corpus étendus et de haute qualités, numérisés, dans la mesure où les configurations syntaxiques se trouvent associées à des contours prosodiques.
BIBLIOGRAPHIE
BOLTANSKI 1999 Boltanski Jean-Elie.- Nouvelles Recherches en Phonologie.- Paris, PUF, collection Linguistique nouvelle, 1999 On y trouvera sous forme de bibliographie chronologie (1958-1997) les principaux titre de la littérature du domaine nécessaire à l'argumentation.

PHONOLOGIE LEXICALE et Forme Phonique (FPh) OPAQUE du fra, "n'est-ce pas, aurait pu se dire autrement", constate Boltanski 1999:16 (3) dans son argumentation initiale: • [yß'ak] • [b'ak]; effacement de voyelle extramétrique sur le squelette (perte de gabarit) • [awb'aka] si, au lieu d'avoir sélectionné le genre M (masculin), avait été sélectionné la modalité F (féminin), par exemple à partir d'un neutre pluriel collectif de la morphologie du LATIN: OPACA, PRATA, PERA, POMA (morphologie historique: faits très bien connus)
De même, habitués que nous sommes à rechercher l'étymon latin d'une forme aver _ETYMON HABERE, il nous semblait légitime, avant analyse phonologique et morphologique de trouver dans le SIMPT HABUISSEM, le pêre ou ancêtre direct des formes de subjonctif imparfait roman (portugais, gallego, catalan, occitan); et pourtant personne actuellement n'accepterait sans réserve une telle position, tant il est démontré que les formes de SIMPT roman sont le produit
• d'une opération MORPHOLOGIQUE
• d'une opération PHONOLOGIQUE définies par rapport aux théories et modèles d'analyse de MOHANAN 1986 (Lexical Phonology)
• d'une opération prosodique.

PRINCIPE DE SEGMENTATION ETT DE REPRESENTATION PHONOLOGIQUE Une forme occitane ou française, catalane, gallega, de SIMPT , en occitan aguèsse est solidaire, phonologiquement, de la structure morphologique du PT à sa PERSONNNE 2 (PT2 toujours FAIBLE, prosodiquement parlan, forme de contour prosodique faible, sauf cas monosyllabiques); de même l'option avossi de SIMPT1 repose sur une solidarité avec PT2 CONTOUR FAIBLE avosses. Les morphèmes personnels, obtenus par extraction représentent les désinences du S+PT LATIN, avec arrangements ou remaniements phonologiques intervenus dans les types morphologiques romans examinés dans leurs relations; Boltanski 1999 reprend souvent la formule du négoce, du marchandage; il pense et dit que ce sont des formes négociées, des résultats d'arrangements "raisonnables". Habitués que nous sommes à envisager l'aspect diachronique des processus, et leurs résultats dans l'espace, fût-ce dans les formes témoins fragiles que sont les toponymes fixés par une tradition orale incertaine, il me faut avouer que j'ai du mal à déterminer ce qui concerne la phonologie lexicale proprement dite de la phonologie postlexicale; pourtant nous opérons, en phonéticiens historiens, indoéuropéanistes, comparatistes, comme opère Boltanski 1999: 16, en sélectionnant, à partir de nos bases de données (DLR : Dialectal Language Ressources) • des dictionnaires de racines (bases, formes réduites) • des dictionnaires d'affixes (infixes, suffixes, préfixes, désinences nominales et verbales)
Exemple de segmentation Dans la théorie de la racine indoeuropéenne ce que F (Futur) et IMPT ont en commun, c'est une première extension en [b]: bo/bam Ce qui les démarque, en revanche, est, du point de vue de la combinatoire
• dans le cas de F, l'adjonction de désinences primaires
• dans le second cas IMPt, adjonction en chaîne d'affixes de temps [a] et de désinences secondaires : par exemple [m] 1; [s] 2 ; [t] 3

Cela peut nous aider à mieux comprendre la pensée et le mode d'argumentation de Boltanski 1999: 22 lorsqu'il dit: " La représentation phonologique est plus abstraite [que la forme phonique]. C'est la forme sous laquelle l'item lexical est stocké dans la mémoire ..."

Il ajoute (23) " La référence à la mémoire est importante... parce que les locuteurs, au lieu de conserver dans leur mémoire de longues listes d'allomorphes, préfèrent construire, pour chaque morphème, une représentation unique". Du coup nous voici contraints de fournir aux phonologues non des listes d'allophones, d'allomorphes, mais des listes réduites à une REPRESENTATION PHONOLOGIQUE UNIQUE.
Prenons un exemple, celui des dénominations romanes de la FRONTIERE, par recours à une racine indoeuropéenne BOD[I]NA de contour prosodique proparoxytonique réduit dans le type roman: le point de départ du processus de phonologie postlexicale est la suite de deux Consonnes [d] en mosition faible, après effacement d'intertonique de timbre [i] l'autre [n] en mosition forte d'attaque de syllabe, dans un lemme de contourt prosodique:CVC.CV, qui rend compte de tous les allophones prédictibles, plausibles, possibles, attestés comme échantillons de parole, avec application de règles postlexicales d'assimilation/dissimination consonnantique. Ici trouve place notre représentation d'un système à options instututionnalisées, le concepot d'options ou préférences institutionnalisées étant emprunté aussi bien à la pensée statistique (étude des distributions) qu'à la pensée de Boltanski, qui parle de solutions institutionnalisées:
• option 1 solution stable [rn]: b'Ornœ
• option [2] solution [nn] à gémination de C NASALE (résultat d'une assimilation)
• option 3 [nd] plus délicate à interprétrer correctement. L'interprétation par hypercorrection (une possibilité) passe par le principe de réduction de la coronale voisée [d] en gascon, lorsqu'elle est précédée de [n] en position faible; la brana du secteur aquitanique, c'est la brande de la Guyenne et du Haut-Languedoc. A cet égard, notre argumentation débouche sur une question: qu'est-ce qu'une description claire? la description de LA langue? ou la description des connaissances, implicites, qu'en ont les sujets, qui sont les vrais responsables des arrangements institués que nous avons la tâche d'expliquer.
Revenons à un exemple d'allophonie élémentaire, difficile à expliquer: RELHA s. f. sg. "soc de charrue" (L1) a pour premier voisin lexical dans le hangar à lexique un lemme (L2) rol/rolh en [u], "rondin" responsable de V = rolhar débiter en rondins; si bien que, lorsqu'on dresse la liste des allophones de L1, le bilan L1 peut se troubver brouillé par la proximité interférentielle de L2 arrelha [e] légal (phonologie lexicale) sous jacent dans les allophones ultérieurs arrolha [u] dérivationnel de rang 1 (postlexical): c'est l'hybridation lexicale des explications traditionnelles, car l'alternance [e]/[u] n'a rien d'une régularité, d'un principe, elle n'est pas paramétrable, n'est pas prédictible. arrulha [y] dérivationnel de rang 2 (postlexical), qui n'a rien d'extraordinaire, mais tout de prédictible et fortement plausible, quand l'objet [u], quelle que soit son origine, est en contact direct avec un objet [L]+palatal en coda de syllabe. Je vous propose l'exercice de reconnaissance suivant, pour savoir si je me suis fait clairement comprendre. Soit un énoncé simple calé sur son SIGNAL correspondant, donc vérifiable: me soi pas fach mal me soi pas fait mal En un premier temps, tout se prononce. Par la suite, cela se prononce ou non, avec gradience, surtout pour les consonantisme en position CODA de ssyllabe, quels qu'il soit, coronaux, vélaires etc. Le résultat est alors me sO pa[s] fa[] m'a:[] A la position vide, on pose sur le squelette (les XXX du squelette), la place de l'unité représentée en représentation phonologique, avec la valeur ZERO, obtenue par commutation; c'est à ean Séguy (Séguy 1973) que revient le mérite d'acoir utilisé ce principe pour écrire ses PARAMETRES, que nous avons improprement appelés REGLES, à la rigueur règles gradientes. Il est des cas qui exigent l'annulation du gradient; en France le nom institutionnel du département 46 est [l'Ot] et non [l'o], qui est une aberration stupide.-; toutefois, on admetrra l'option ['Olt], hydronyme de départ acclimaté (pays d'Olt); jamais ['Ol]. De même, la comparaison interne du morphème simple SER et du dérivé SER@ad@a, oblige à écrire @SE[]@ la représentation phonologique du morphème (ou lemme (ser: s. m. sg. du dictionnaire occitan des prononciations "soir"/"soirée. Déjà BRESNAN (citée par Boltanski 1999 : 27) ne disait-elle pas: ces options, ces solutions, du polymorphisme institué, ne son,t-elles pas "imposées par la mémoire, et, peut-être, par la culture?” (Bresnan J. - The mental representation of grammativcal relations, MIT Press, 1982, p. 12; mais je crains bien ici d'être taxé d'affreux localiste, d'ignoble réaliste naïf: encore un!.

PREMIERS ESSAIS DE DISTINCTION ENTRE REGLES ALLOPHONIQUES ET REGLES MORPHOPHONEMIQUES

On renvoie ici globalement, pour la vue d'ensemble qu'il en donne, au chapitre 2 de Boltanski 1999 Phonologie lexicale (PP. 29-35) Halle 1973 Mohanan 1986 (modèle lexical de Mohanan) Il s'agit d'établir une première distinction: phonologie du syntagme nominal ou verbal (l'aiguille; me soi pas fach mal), et phonologie du mot (agulha; mal), qui permet d'établir des types phonologiques syntagmatiques, et des types phonologiques lexicaux, ainsi que leurs relations. Selon une représentation encore courante, mais qui a des solutions alternatives, les morphèmes sont ranglés dans des collections de morphèmes, dans une sorte de hangar à morphèmes: " les morphèmes sont entreposés dans un dictionnaire" (Boltanski 1999: 31); ainsi, pour former les pluriels des noms occitans, on aurait engrangé les affices réguliers, formant types: [s] [i] [e+s] [i+S] voire [u+s] à proximité de la morphonologhie catalane (els gosses, els òssos)? Les "jointures" sont 1° visibles et 2° audibles, à l'oreille, à écoute du siglal, comme lors de son annotation graphique par opération de transcription normée aux normes IPA (1927). C'est le module postlexical de Mohanan 1986 qui intéresse le plus le dialectologue géolinguiste qui a charge de tracer de manière impeccable les frontières ou limites de production des solutions allophoniques. Mais ici, de toute évidence, ce qui a présidé à l'établissement des frontières n'est pas la représentation phonologique: c'est "l'implémentation phonétique", perçue et traduite en termes de règles d'implémentation phonétique, avec ou sans gradient (Boltanski 1999: 34)

PHONOLOGIE AUTOSEGMENTALE DE L'OCCITAN Dans ce domaine, trop peu de travaux d'application, si l'on excepte SAUZET, ont été produits depuis la m'apparition des analyses de vulgarisation de ce modèle,; il s'agit essentiellement de mettre en évidence l'existence de "stratégies de réparation" (Paradis 1990: Phonologie générative multilinéaire, dans Tendances actuelles de la Linguistique (ed. JL Nespoulous, Delachaux et Niestlé, 1990) Le cas de la résolution de l'hiatus (intralexical) Premier exemple: NP et ses allophones LOUIS NP FRA de contour CGLV a pour équivalents gascons les chaînes ou suites option 1 [lw'i] solution française généralisé CGV, da taille syllabique 1 option 2 [luw'i] CGLV (FRA) de taille syllabique 2 option 3 [lw'is] CGLVC de taille syllabique 1 option 4 [lY'is] CGLVC de taille syllabique 1 La réparation de l'hiatus interne (sandhi inter)e se fait par SUBSTITUTION ou ADJONCTION de GL, qui hésite entre [w] et [Y] arrangement secondaire peu co^$uteux avec la voyelle de la position squelettale de noyau de taille syllabique 1 SECOND EXEMPLE 1° implémentation de règles phonétiques gradientes d'assimilation caissa s. f. sg. connaît au moins trois solutions, pour un même squelette prosodique ce type CV.CV, de type roman généralisé, contre le type français CVC. Sur cette question des schèmes prosodiques et de leur "gabarit", V. Boltanski 1999, 45 solution [aj] caissa [k'ajso] solution [ej] caissa [k'ejso] k'ejSo] solution [a] caissa [k'aSo] V. Goldsmith 1976 V. MacCarthy 1985 V. MacCarthy 1982 V. Plénat 1986 et suivants (1999 encore: phonologie des hypocoristiques) 2° représentation phonologique du NOYAU • option V • option VGL (c'est alors l'ensemble des options diphtongales audibles, qu'lles soient ou non visibles) qui se trouvent regroupées. Il est aisé de tester l'existence de telles stratégies soit en occitan méditerranéen, soit sur le dialecte français dérivé: occitan pliar, verifiar, certifiar; etc. Il s'agirait de déterminer deux étapes: 1° formation de GLISSANTE (GL = glide) 2° étape d'ajustement Il serait intéressant d'observer comment un phonologue bascologue, sur cette base, expliquerait les relations entre variantes allophoniques du basque: heen: avec hiatus ? hayen : avec adjonction de GL (hiatustilgung)? hen : avec voyelle longue, par allongement compensatoire ?(Allières 1964) Seraient très intéressants à traiter dans une telle optique les faits de propagation de trait qui concernent les processus de palatalité, nasalité complète, incomplète, graduelle; ceci est une des problématiques qui nous faciliterait de manière efficace de repenser en termes de CONTRAINTES sur des SUITES VV ou VC ce qui était pensé en termes de REGLES, fussent-elles gradientes. Nous nous intéressons quant à nous pour l'essentiel à la description des langues à morpho-phonologie concaténative (affixes, infixes, préfixes, postfixation) par traits, quelle que soit leur "géométrie" (Boltanski 1999 ch3 Géométrie des traits PP. 46-56 (V. Clements 1993.

GEOMETRIE DES TRAITS

Dans l'espace de la géométrie des traits, que se passe-t-il lotrsque bosiga s. f. sg. [buz'iGo] est rendu par un de ses allophones [bw'iGœ] NC et NP, d'usage courant institutionnel dans le dictinnaire des prononciations normales occitanes, à confronter au dictionnaire des prononciatins catalanes (il ne s'agit pas d'exceptions lexicales) 1° implémentation phonétique: 3 syll.: que se passe-t-il si, d'accident- on cesse d'entendre une sifflante +VOIS en position intervocalique, attaque de SYLL2 de paroxytion féminin? La formule est X produit normalement [Y] _Z (en contexte Z); et, normalement, à l'inverse du catalan voisin [z] ne s'efface pas en situation intervocalique; díser; vesin; cosina etc. il est aisé de fournir la liste du hangar mémorisée, listr électronique triée. 2° représentation phonologique en termes de géométrie des traits, soigneusement distinguée de la précédente, si on y parvient: Le schéma de F2 est de schème prosodique CGL'V.CV (taille de base syllabique = 2) Cette théorie (modèle) pourrait éclairer • les phénomènes dits par la phonétique de RENFORCEMENT: FAVE solution [b] et [ß] solution [w] solution [v] du FRA et strates cycliques (processus dit cyclique) • les processus de dissimilation consonnantique (GRAMMONT) et vocaliques et leur inverse (assimilation) prenant en compte les facteurs de proximité, d'adjacence, de similarité • les faits de variables implicationnelles Une fois rendu au stade bonda (de *bodna), la proximité des éléments qui caractérisent [o] et [n] peut rendre compte d'une fermeture sur la position du noyau [u]: V. bòna [b'una] en occitan, aranais inclus (contra catalan, contra létat de langue institué LATIN); il s'agit ici de discriminer les processus de point de départ de leurs "effets secondaires"; ce qui nous semble tout à fait trivial; mais intéressant, parce que clair. • Alternance de Consonnes VOIS/NON_VOIS en position forte (attaque de syllabe) cat sm.sg [g] +VOIS est illicite en languedocien cata s. f.sg. allophones gascons: gath; gata +VOIS: [k] est illicite en GASC.
TEST sur règle gradiente phonologique: carte panoccitane des continuateurs du LAT CALDARIA: caudèra/cautèra
• la question des C sourdes doucles du languedocien, de l'occitan
• la représentation des processus dits d'association (métaphore dite du chevauchement): les voyelles dites PONTS (brückvokal); cela oblige au moins à se faire une idée plus claire de la distinction entre (1) événement (2) unité phonologique (vila: viela; vial)
• les phénomènes de flottement accentuel en limousin notamment, institutionnalisés en morphologie (Lamuela 1999). Ces points sont à présent mis à discussion.


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